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Courriers des lectrices et des lecteurs. « Les déficits budgétaires cumulés de ces dernières décennies, l’évolution démographique de notre pays, etc. amènent à réfléchir sur la façon de pérenniser ce système de retraite par répartition. »

« Avec une population vieillissante, le sujet des retraites préoccupe les instances publiques, tout comme les Françaises et Français.

Tout d’abord, la politique est noble quand elle défend l’intérêt général. Il me semble important de mesurer, de prendre conscience de tout ce qui va bien dans notre pays. La mise en place de la Sécurité sociale à la Libération a été une idée géniale. La retraite par répartition illustre bien ce propos. Cependant, depuis 1945, le contexte global a énormément changé : accroissement de la population, du niveau de vie, augmentation de l’espérance de vie, du confort matériel, etc. Oui, mais…Les déficits budgétaires cumulés de ces dernières décennies, l’évolution démographique de notre pays, etc. amènent à réfléchir sur la façon de pérenniser ce système de retraite par répartition.

1. N’est-il pas choquant de voir que des retraités reçoivent des montants mensuels nettement supérieurs à ce que touchent des smicards et smicardes ? Ces derniers ont, en plus, souvent des métiers pénibles.

2. Ne serait-il pas intéressant de cesser d’indexer (en pourcentage) le montant des retraites en fonction de l’inflation ?

3. Ne serait-il pas intéressant de limiter le montant des retraites ? Exemple : un maximum de 2 500 € mensuel par personne.

Les économies qui seraient réalisées sur les grosses retraites permettraient d’augmenter très sérieusement, de plusieurs centaines d’euros par mois, les petites retraites. Chaque retraité(e) devrait ainsi pouvoir toucher un montant minimum de 1500 à 1600 € par mois.

Naturellement, il faut tenir compte du patrimoine global détenu par le foyer. Mais, n’est ce pas cela, également, la retraite par répartition pour plus de justice et d’équité ?
Lire aussi. « Il me reste 50 € pour finir le mois » : à 76 ans, ce retraité vit sous le seuil de pauvreté

Je n’entends pas, notamment chez les partis de gauche, ce genre de proposition pour réformer de façon durable, juste et équitable le (les) régime de retraite. Il faut du courage, mais cela me semble vital pour que :

– Les ultra-riches soient moins riches et pour que les plus pauvres soient plus à l’aise sur le plan financier. Cela s’appelle le partage.

– La paix sociale puisse régner.

– La solidarité intergénérationnelle puisse perdurer.

– La démocratie soit saine, ce qui permettra notamment de limiter la montée des idées extrémistes de droite et de gauche.

Mais suis-je tout simplement un utopiste ? »

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Vous gagnez 1500€ net tous les mois ? Voici le montant potentiel de votre future pension de retraite.

En France, le système de retraite est complexe et dépend de plusieurs facteurs comme le revenu, le nombre de trimestres cotisés, l’âge de départ et les implications fiscales pour le salarié. Pour bénéficier d’une retraite à taux plein, il est crucial pour le salarié de cumuler un certain nombre de trimestres durant sa carrière. Avec un salaire net mensuel de 1 500 euros, voici une estimation du montant potentiel de la retraite.

Quel serait le montant potentiel d’une retraite pour un salaire de 1500€ net/mois ?

L’entrée en vigueur de la réforme des retraites

La réforme des retraites, entrée en vigueur en septembre 2023, a simplifié et rendu le système de retraite en France plus équitable. Parmi les changements apportés, on note l’élévation de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, l’augmentation du nombre de trimestres de cotisation requis, qui varie désormais entre 169 et 172 trimestres selon l’année de naissance du retraité, la révision du mode de calcul des pensions, ainsi que l’introduction de mesures incitatives pour encourager les salariés à prolonger leur carrière afin d’éviter une diminution de leur pension.

Les éléments à prendre en compte dans le calcul de la retraite

Le calcul de la pension de retraite repose sur le salaire annuel moyen des 25 meilleures années de travail, la durée d’assurance et le taux de retraite. Le salaire annuel moyen est calculé à partir des années de salaire les plus élevées, ajustées selon le coût de la vie. Le taux de retraite est fixé à 50 %, mais peut être réduit si le retraité n’a pas cotisé suffisamment au cours de sa carrière. La durée d’assurance correspond au nombre de trimestres validés, comme l’indique Finary.

La retraite de base d’un salarié qui touche 1 500€ net mensuel

Pour un salarié ayant un revenu mensuel net de 1 500 euros, s’il a complété le nombre de trimestres nécessaires et atteint l’âge légal de départ à la retraite, sa pension sera calculée en multipliant son salaire annuel moyen par le taux de retraite et par la durée d’assurance, puis en divisant par la durée de référence. Par exemple, un salarié ayant cotisé le nombre requis de trimestres, soit 167 trimestres pour ceux nés en 1973, peut espérer une retraite de base correspondant à 50 % de son salaire annuel moyen, soit environ 973 euros nets par mois.

Quel est le montant de votre pension complémentaire si vous touchez 1500 euros/mois ?

Le régime complémentaire Agirc-Arrco

En plus de la retraite de base, il y a une retraite complémentaire obligatoire, administrée par l’Agirc-Arrco pour les employés du secteur privé. Ce système repose sur un mécanisme de points. Les cotisations effectuées tout au long de la carrière d’un salarié du privé sont transformées en points, et la valeur de ces points détermine le montant de la pension complémentaire.

La retraite complémentaire d’un salarié qui touche 1 500 euros net par mois

Si on considère que le salaire annuel moyen d’un employé percevant 1 500 euros est ajusté à 1 946 euros et qu’il a cotisé le nombre de trimestres nécessaires, il accumulera en moyenne 2 590 points. Sa pension complémentaire sera calculée en multipliant le nombre de points accumulés par la valeur d’un point Agirc-Arrco, soit 2 590 × 1,3498, ce qui équivaut à 3 496 euros par an, soit 291,33 euros par mois.

Le montant total de retraite d’un salarié qui touche 1 500 euros net par mois

Les montants calculés varient selon la situation personnelle de chaque salarié. Pour un revenu mensuel net de 1 500 euros, on peut anticiper une pension de base d’environ 973 euros, à laquelle s’ajoutent 291,33 euros de retraite complémentaire, totalisant environ 1 264,33 euros nets par mois. Pour des estimations précises et adaptées à chaque cas, il est conseillé de consulter un organisme de retraite ou un conseiller. De plus, il est important de rester informé des changements dans le système de retraite pour garantir une pension satisfaisante.

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En ce début février, 14 millions de retraités du privé doivent percevoir deux versements à quatre jours d’intervalle. Le premier concerne la pension complémentaire et le second les pensions de base revalorisées de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et de la Mutualité sociale agricole (MSA).

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Deux versements le 3 et le 7 février

Comme d’habitude, les pensions complémentaires de près de 14 millions de retraités affiliés à l’Agirc-Arrco ont été versées en ce début de mois. Ce régime concerne les anciens salariés du secteur privé, qui perçoivent à la fois une retraite de base gérée par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et une retraite complémentaire assurée par l’Agirc-Arrco. Conformément au calendrier établi, ces pensions complémentaires sont versées le premier jour ouvré du mois. Or cette année, le 1er février est tombé un samedi. Le paiement a donc été reporté au lundi 3 février 2025.

Le second versement concerne cette fois la pension de base versée par la Cnav, qui concerne environ 15 millions de retraités. Habituellement programmé le 9 du mois, le virement est avancé lorsque cette date coïncide avec un week-end ou un jour férié. Le 9 février 2025 étant un dimanche, la Cnav a décidé que ce premier versement serait effectué vendredi 7 février. Précisons ici que les retraités relevant du régime de base de la Mutualité sociale agricole (MSA) percevront également leur pension de base à cette même date.

Revalorisation des pensions

Il faut toutefois noter que si ces virements sont bien effectués aux dates prévues, leur disponibilité sur les comptes bancaires peut varier selon les établissements. En général, les délais sont courts, mais certaines banques peuvent nécessiter un traitement de quelques jours avant que les fonds ne soient accessibles.

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Deux versements le 3 et le 7 février

Comme d’habitude, les pensions complémentaires de près de 14 millions de retraités affiliés à l’Agirc-Arrco ont été versées en ce début de mois. Ce régime concerne les anciens salariés du secteur privé, qui perçoivent à la fois une retraite de base gérée par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et une retraite complémentaire assurée par l’Agirc-Arrco. Conformément au calendrier établi, ces pensions complémentaires sont versées le premier jour ouvré du mois. Or cette année, le 1er février est tombé un samedi. Le paiement a donc été reporté au lundi 3 février 2025.

Le second versement concerne cette fois la pension de base versée par la Cnav, qui concerne environ 15 millions de retraités. Habituellement programmé le 9 du mois, le virement est avancé lorsque cette date coïncide avec un week-end ou un jour férié. Le 9 février 2025 étant un dimanche, la Cnav a décidé que ce premier versement serait effectué vendredi 7 février. Précisons ici que les retraités relevant du régime de base de la Mutualité sociale agricole (MSA) percevront également leur pension de base à cette même date.

Revalorisation des pensions

Il faut toutefois noter que si ces virements sont bien effectués aux dates prévues, leur disponibilité sur les comptes bancaires peut varier selon les établissements. En général, les délais sont courts, mais certaines banques peuvent nécessiter un traitement de quelques jours avant que les fonds ne soient accessibles.

Rappelons enfin que depuis le 1er janvier 2025, les pensions de retraite ont été revalorisées de 2,2 % afin de suivre l’inflation. Initialement envisagé pour l’été, ce relèvement a finalement été appliqué au premier jour de l’année à la suite de l’adoption de la motion de censure qui a entraîné la chute du gouvernement de Michel Barnier. Cette revalorisation est appliquée sur le versement de février qui porte sur la pension de janvier.

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Cette nouvelle édition du Panorama annuel rassemble les éléments de cadrage et les chiffres clés permettant d’appréhender la question des retraites, premier poste de dépenses de la protection sociale avec 353 milliards d’euros de pension versés en 2022 (13,4 % du PIB), et de l’invalidité. Elle met également à disposition des données actualisées sur les effectifs de retraités, les montants de pension et les âges de départ à la retraite, tous régimes confondus et par régime de retraite, jusqu’en fin d’année 2022.

Le nombre de retraités de droit direct continue d’augmenter pour atteindre 17,0 millions de personnes en 2022

Fin 2022, 17,0 millions de personnes sont retraitées de droit direct des régimes français. Leur nombre augmente de 175 000 par rapport à fin 2021. Ce rythme reste inférieur à celui observé entre 2005 et 2010 mais se situe dans la tendance des dernières années. Les femmes représentent 53 % des retraités de droit direct.
Parmi les retraités d’un régime de base, 85 %, soit 14,4 millions de retraités, perçoivent une pension de droit direct de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV). 12,4 millions reçoivent une pension complémentaire du régime unifié fusionnant l’Association générale des institutions de retraite des cadres et l’Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés (Agirc-Arrco).
Tous régimes confondus, 789 000 retraités liquident un premier droit direct à la retraite en 2022. Par ailleurs, fin 2022, 4,4 millions de personnes bénéficient d’une pension de retraite de droit dérivé (aussi appelée « pension de réversion »). Pour 914 000 de ces bénéficiaires, cette pension de réversion constitue leur unique pension de retraite – certains d’entre eux peuvent avoir des droits directs de retraite mais ils n’ont pas encore liquidé leur pension. Les femmes, plus souvent veuves, représentent 88 % des bénéficiaires d’une pension de droit dérivé. Le régime général verse 2,8 millions de pensions de droit dérivé et l’Agirc-Arrco 3,0 millions.

La pension brute moyenne progresse de 5,4 % en euros courants mais baisse de 0,4 % en euros constants entre 2021 et 2022

Fin 2022, la pension mensuelle moyenne de droit direct des retraités résidant en France, après prise en compte de l’éventuelle majoration pour trois enfants ou plus, s’élève à 1 626 euros bruts, soit 1 512 euros nets des prélèvements sociaux1 . Pour l’ensemble des retraités des régimes français, y compris ceux résidant à l’étranger, ce montant est de 1 565 euros bruts.
Les femmes résidant en France ont une pension de droit direct moyenne (y compris l’éventuelle majoration pour trois enfants ou plus) inférieure de 38 % à celle des hommes en 2022, contre un écart de 50 % en 2004. Cet écart reflète en partie les inégalités de parcours professionnels (écarts de salaires et de durées de carrières). En incluant l’éventuelle pension de réversion, qui concerne plus souvent les femmes, l’écart est de 26 % en 2022.
L’inflation a augmenté de 2020 à 2022 : les prix ont en effet progressé de + 5,9 % entre fin 2021 et fin 2022, contre + 2,8 % entre fin 2020 et fin 2021. Par ailleurs, les pensions de base sont normalement revalorisées en janvier sur la base de l’inflation constatée en moyenne l’année précédente2 . Cette règle conduit normalement à une perte de pouvoir d’achat dans ce contexte d’accélération du niveau des prix. Cependant, l’année 2022 a été particulière puisqu’à la revalorisation normalement prévue de 1,1 % en janvier 2022 s’est ajoutée une revalorisation exceptionnelle de 4,0 % en juillet 2022 (afin, justement, de tenir compte la hausse des prix). Les pensions de base ont ainsi été revalorisées de 5,1 % entre fin 2021 et fin 2022, de même que les pensions complémentaires par ailleurs. Les personnes déjà à la retraite ont ainsi vu leur pension progresser de 5,1 % en moyenne entre fin 2021 et fin 2022 en euros courants (hors inflation), soit -0,7 % en euros constants (y compris inflation).
En tenant compte par ailleurs du renouvellement de la population à la retraite (des retraités décèdent entre 2021 et 2022 mais de nouvelles personnes partent à la retraite en 2022), la pension moyenne des retraités de 2022 est supérieure de 5,4 % à celle des retraités fin 2021 en euros courants, soit -0,4 % en euros constants.

Depuis 2010, l’âge de départ à la retraite a augmenté de 2 ans et 2 mois

Fin 2022, l’âge conjoncturel de départ à la retraite s’élève à 62 ans et 8 mois pour les retraités de droit direct résidant en France. Il augmente depuis 2010 (+2 ans et 2 mois) à la suite, principalement, des relèvements des âges légaux issus de la réforme de 2010. L’âge conjoncturel de départ à la retraite augmente toutefois plus lentement depuis 2016. En effet, le relèvement de l’âge légal d’annulation de la décote, qui commence à monter en charge à partir de cette date, a un effet plus modéré que celui de l’âge minimum légal d’ouverture des droits, qui a achevé de produire ses effets en 2016.
Les femmes liquident leurs droits à la retraite en moyenne 8 mois après les hommes en 2022 : elles prennent leur retraite en moyenne à 63 ans, contre 62 ans et 4 mois pour les hommes. L’écart se réduit toutefois progressivement au fil des générations.

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Selon la Banque centrale du Brésil, le pays a fait face à un déficit courant de 3,1 milliards de dollars en novembre. Ce chiffre est nettement supérieur à celui du même mois de l’année dernière, lorsque le déficit s’élevait à 1,3 milliard de dollars.

La principale raison de l’augmentation du déficit est la croissance des dépenses de voyage des Brésiliens à l’étranger et l’augmentation des dividendes versés aux investisseurs étrangers. Pendant onze mois, le compte courant dans son ensemble a affiché un déficit de 38,9 milliards de dollars, soit l’équivalent de 3,0 % du produit intérieur brut (PIB) du pays.

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L’industrie automobile européenne est confrontée à de sérieux défis, obligeant les grands constructeurs à reconsidérer leurs stratégies. Les problèmes liés à l’évolution des préférences des consommateurs, à la hausse des prix des matières premières et au passage aux véhicules électriques entraînent des fermetures potentielles d’usines et des licenciements importants.

Certains des principaux constructeurs automobiles ont déjà annoncé leur intention de supprimer des emplois. Par exemple, Ford a annoncé la fermeture d’une usine en Allemagne, ce qui affectera de nombreux salariés. De même, Renault prévoit d’optimiser ses capacités dans un contexte de baisse de la demande pour les voitures traditionnelles.

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La baisse des factures des bars américains cette saison laisse présager des temps difficiles pour l’industrie des boissons alcoolisées dans un contexte d’incertitude économique et de hausse des prix. Selon Morgan Stanley, la facture moyenne d’alcool a chuté de 20 % au troisième trimestre, entraînant des pertes de près de 200 millions de dollars pour les principaux fabricants d’alcool tels que Constellation Brands et Diageo.

Les consommateurs qui réduisent leurs dépenses varient également en fonction du type d’alcool qu’ils consomment. Les cigarettes et les spiritueux sont devenus moins populaires, tandis que les ventes de vin restent stables. Cependant, le vapotage et les cocktails sans alcool connaissent une croissance rapide sur le marché, mettant en évidence l’évolution des habitudes de consommation.

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Le dollar américain devrait s’affaiblir en 2025, mais la chute sera moins importante que prévu, selon UBS. Malgré le ralentissement du rythme de hausse des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine et une pause potentielle dans ce processus, le dollar ne devrait pas connaître de forte baisse, selon les analystes de la banque.

Les prévisions d’UBS indiquent un affaiblissement modéré de la monnaie, lié à l’incertitude économique mondiale et aux changements de politique monétaire. En particulier, on prévoit que des devises telles que l’euro et la livre sterling pourraient se renforcer face au dollar, mais les changements qui en résulteront seront limités.

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Les actions de Petrofac ont chuté de 11% après que la société a annoncé des changements structurels qui ont suscité des inquiétudes parmi les investisseurs quant à une éventuelle dilution de leurs participations. La restructuration, a déclaré l’entreprise, était nécessaire pour revenir à une croissance stable après une série de difficultés financières et de pertes, y compris des problèmes avec des projets et des enquêtes sur l’exactitude de ses états financiers.

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