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Roger Francois

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On s’y sent très à l’aise car il ne s’agit pas d’une odeur artificielle de désodorisant. Ces personnes connaissent peut-être la méthode utilisée par les Grecs et les Romains de l’Antiquité. La feuille de laurier était utilisée non seulement pour la cuisine, mais aussi pour nettoyer les pièces des mauvaises odeurs et de l’humidité. On y mettait le feu.

D’ailleurs, en procédant souvent de la sorte, on peut non seulement se débarrasser de l’odeur, mais aussi prévenir certaines maladies et améliorer sa santé. Il est prouvé que l’odeur du laurier a un effet apaisant et analgésique sur le corps.

Grâce à ces feuilles, fini les pommades contre les varices, les trous de mémoire et les maux de tête !

La feuille de laurier peut prévenir les crises d’épilepsie, lutter contre le stress, la fatigue et l’insomnie. En effet, cette épice contient du cinéole et des huiles essentielles spécifiques qui dégagent les voies respiratoires et aident à détendre l’ensemble du corps. Pour ressentir l’effet relaxant après seulement 10 minutes, allumez quelques feuilles de laurier sèches au-dessus d’une casserole appropriée. Au bout d’un moment, vous sentirez une odeur agréable envahir la pièce.

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En ce début février, 14 millions de retraités du privé doivent percevoir deux versements à quatre jours d’intervalle. Le premier concerne la pension complémentaire et le second les pensions de base revalorisées de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et de la Mutualité sociale agricole (MSA).

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Deux versements le 3 et le 7 février

Comme d’habitude, les pensions complémentaires de près de 14 millions de retraités affiliés à l’Agirc-Arrco ont été versées en ce début de mois. Ce régime concerne les anciens salariés du secteur privé, qui perçoivent à la fois une retraite de base gérée par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et une retraite complémentaire assurée par l’Agirc-Arrco. Conformément au calendrier établi, ces pensions complémentaires sont versées le premier jour ouvré du mois. Or cette année, le 1er février est tombé un samedi. Le paiement a donc été reporté au lundi 3 février 2025.

Le second versement concerne cette fois la pension de base versée par la Cnav, qui concerne environ 15 millions de retraités. Habituellement programmé le 9 du mois, le virement est avancé lorsque cette date coïncide avec un week-end ou un jour férié. Le 9 février 2025 étant un dimanche, la Cnav a décidé que ce premier versement serait effectué vendredi 7 février. Précisons ici que les retraités relevant du régime de base de la Mutualité sociale agricole (MSA) percevront également leur pension de base à cette même date.

Revalorisation des pensions

Il faut toutefois noter que si ces virements sont bien effectués aux dates prévues, leur disponibilité sur les comptes bancaires peut varier selon les établissements. En général, les délais sont courts, mais certaines banques peuvent nécessiter un traitement de quelques jours avant que les fonds ne soient accessibles.

Les premiers jours de février réservent une bonne nouvelle aux retraités. Et pour cause : deux paiements successifs sont prévus cette semaine, comme le rapportent les sites Actu.fr et Merci pour l’info . Après une hausse du prix du tabac et des péages, cette double échéance apporte un peu d’air frais aux bénéficiaires concernés. Mais comment expliquer ce double versement ?

Deux versements le 3 et le 7 février

Comme d’habitude, les pensions complémentaires de près de 14 millions de retraités affiliés à l’Agirc-Arrco ont été versées en ce début de mois. Ce régime concerne les anciens salariés du secteur privé, qui perçoivent à la fois une retraite de base gérée par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) et une retraite complémentaire assurée par l’Agirc-Arrco. Conformément au calendrier établi, ces pensions complémentaires sont versées le premier jour ouvré du mois. Or cette année, le 1er février est tombé un samedi. Le paiement a donc été reporté au lundi 3 février 2025.

Le second versement concerne cette fois la pension de base versée par la Cnav, qui concerne environ 15 millions de retraités. Habituellement programmé le 9 du mois, le virement est avancé lorsque cette date coïncide avec un week-end ou un jour férié. Le 9 février 2025 étant un dimanche, la Cnav a décidé que ce premier versement serait effectué vendredi 7 février. Précisons ici que les retraités relevant du régime de base de la Mutualité sociale agricole (MSA) percevront également leur pension de base à cette même date.

Revalorisation des pensions

Il faut toutefois noter que si ces virements sont bien effectués aux dates prévues, leur disponibilité sur les comptes bancaires peut varier selon les établissements. En général, les délais sont courts, mais certaines banques peuvent nécessiter un traitement de quelques jours avant que les fonds ne soient accessibles.

Rappelons enfin que depuis le 1er janvier 2025, les pensions de retraite ont été revalorisées de 2,2 % afin de suivre l’inflation. Initialement envisagé pour l’été, ce relèvement a finalement été appliqué au premier jour de l’année à la suite de l’adoption de la motion de censure qui a entraîné la chute du gouvernement de Michel Barnier. Cette revalorisation est appliquée sur le versement de février qui porte sur la pension de janvier.

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Cette nouvelle édition du Panorama annuel rassemble les éléments de cadrage et les chiffres clés permettant d’appréhender la question des retraites, premier poste de dépenses de la protection sociale avec 353 milliards d’euros de pension versés en 2022 (13,4 % du PIB), et de l’invalidité. Elle met également à disposition des données actualisées sur les effectifs de retraités, les montants de pension et les âges de départ à la retraite, tous régimes confondus et par régime de retraite, jusqu’en fin d’année 2022.

Le nombre de retraités de droit direct continue d’augmenter pour atteindre 17,0 millions de personnes en 2022

Fin 2022, 17,0 millions de personnes sont retraitées de droit direct des régimes français. Leur nombre augmente de 175 000 par rapport à fin 2021. Ce rythme reste inférieur à celui observé entre 2005 et 2010 mais se situe dans la tendance des dernières années. Les femmes représentent 53 % des retraités de droit direct.
Parmi les retraités d’un régime de base, 85 %, soit 14,4 millions de retraités, perçoivent une pension de droit direct de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV). 12,4 millions reçoivent une pension complémentaire du régime unifié fusionnant l’Association générale des institutions de retraite des cadres et l’Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés (Agirc-Arrco).
Tous régimes confondus, 789 000 retraités liquident un premier droit direct à la retraite en 2022. Par ailleurs, fin 2022, 4,4 millions de personnes bénéficient d’une pension de retraite de droit dérivé (aussi appelée « pension de réversion »). Pour 914 000 de ces bénéficiaires, cette pension de réversion constitue leur unique pension de retraite – certains d’entre eux peuvent avoir des droits directs de retraite mais ils n’ont pas encore liquidé leur pension. Les femmes, plus souvent veuves, représentent 88 % des bénéficiaires d’une pension de droit dérivé. Le régime général verse 2,8 millions de pensions de droit dérivé et l’Agirc-Arrco 3,0 millions.

La pension brute moyenne progresse de 5,4 % en euros courants mais baisse de 0,4 % en euros constants entre 2021 et 2022

Fin 2022, la pension mensuelle moyenne de droit direct des retraités résidant en France, après prise en compte de l’éventuelle majoration pour trois enfants ou plus, s’élève à 1 626 euros bruts, soit 1 512 euros nets des prélèvements sociaux1 . Pour l’ensemble des retraités des régimes français, y compris ceux résidant à l’étranger, ce montant est de 1 565 euros bruts.
Les femmes résidant en France ont une pension de droit direct moyenne (y compris l’éventuelle majoration pour trois enfants ou plus) inférieure de 38 % à celle des hommes en 2022, contre un écart de 50 % en 2004. Cet écart reflète en partie les inégalités de parcours professionnels (écarts de salaires et de durées de carrières). En incluant l’éventuelle pension de réversion, qui concerne plus souvent les femmes, l’écart est de 26 % en 2022.
L’inflation a augmenté de 2020 à 2022 : les prix ont en effet progressé de + 5,9 % entre fin 2021 et fin 2022, contre + 2,8 % entre fin 2020 et fin 2021. Par ailleurs, les pensions de base sont normalement revalorisées en janvier sur la base de l’inflation constatée en moyenne l’année précédente2 . Cette règle conduit normalement à une perte de pouvoir d’achat dans ce contexte d’accélération du niveau des prix. Cependant, l’année 2022 a été particulière puisqu’à la revalorisation normalement prévue de 1,1 % en janvier 2022 s’est ajoutée une revalorisation exceptionnelle de 4,0 % en juillet 2022 (afin, justement, de tenir compte la hausse des prix). Les pensions de base ont ainsi été revalorisées de 5,1 % entre fin 2021 et fin 2022, de même que les pensions complémentaires par ailleurs. Les personnes déjà à la retraite ont ainsi vu leur pension progresser de 5,1 % en moyenne entre fin 2021 et fin 2022 en euros courants (hors inflation), soit -0,7 % en euros constants (y compris inflation).
En tenant compte par ailleurs du renouvellement de la population à la retraite (des retraités décèdent entre 2021 et 2022 mais de nouvelles personnes partent à la retraite en 2022), la pension moyenne des retraités de 2022 est supérieure de 5,4 % à celle des retraités fin 2021 en euros courants, soit -0,4 % en euros constants.

Depuis 2010, l’âge de départ à la retraite a augmenté de 2 ans et 2 mois

Fin 2022, l’âge conjoncturel de départ à la retraite s’élève à 62 ans et 8 mois pour les retraités de droit direct résidant en France. Il augmente depuis 2010 (+2 ans et 2 mois) à la suite, principalement, des relèvements des âges légaux issus de la réforme de 2010. L’âge conjoncturel de départ à la retraite augmente toutefois plus lentement depuis 2016. En effet, le relèvement de l’âge légal d’annulation de la décote, qui commence à monter en charge à partir de cette date, a un effet plus modéré que celui de l’âge minimum légal d’ouverture des droits, qui a achevé de produire ses effets en 2016.
Les femmes liquident leurs droits à la retraite en moyenne 8 mois après les hommes en 2022 : elles prennent leur retraite en moyenne à 63 ans, contre 62 ans et 4 mois pour les hommes. L’écart se réduit toutefois progressivement au fil des générations.

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Malgré de nombreuses altercations entre les deux femmes sur les plateaux télés ou dans le cadre de reportages, Élise Lucet ne semble pas inquiète de cette nomination.

Le passif entre la nouvelle ministre de la Culture Rachida Dati et la journaliste Elise Lucet inquiète-t-il cette dernière pour l’avenir de ses émissions ? Pas vraiment à en croire ses réponses.

POLITIQUE – Un avis sur la nomination de sa « meilleure ennemie » ? En pleine promotion du nouveau numéro d’Envoyé Spécial diffusé ce jeudi 18 janvier sur France 2 avec le footballeur français Kylian Mbappé, la journaliste et présentatrice Élise Lucet a confié le fond de sa pensée sur le choix de la nouvelle ministre de la Culture, Rachida Dati.

Interrogée sur cette nomination surprenante et contestée au micro de la radio RTL, la journaliste ne se dit pas inquiète. L’occasion surtout de rappeler qu’« aucun ministre n’intervient jamais dans ce qu’il se passe à France Télévisions, ou alors je me suis trompée ! ».

« Je ne saute jamais de joie quand un ministre est nommé, je fais mon boulot de manière professionnelle, poursuit-elle. Pourquoi ? Parce que les gens s’imaginent que ce sont les ministres qui nomment le président de France Télévisions et les journalistes. Ce n’est pas comme ça que ça se passe, ce n’est plus comme ça que ça se passe ».

Mais cette question est loin d’être aussi naïve qu’on pourrait le croire. Il faut dire que les relations entre l’ancienne Garde des Sceaux et Élise Lucet ne sont pas vraiment au beau fixe depuis quelques années.

Interrogée alors sur une éventuelle déprogrammation de Cash Investigation par Rachida Dati, Élise Lucet estime que la nouvelle ministre de la Culture n’aura pas d’oreille attentive au sein de France Télévisions pour écouter une telle demande.

Elle ajoute : « Quand on arrête une émission, c’est parce qu’elle n’a plus d’écho, parce que ça ne marche plus vis-à-vis des téléspectateurs. Stéphane Sitbon (directeur des antennes et des programmes de France Télévisions) ou Delphine Ernotte (Directrice générale de France Télévisions) arrêtent des émissions régulièrement, mais pas parce qu’ils ont un coup de fil de la ministre. Je n’ai jamais vu ça ».

« De l’eau a coulé sous les ponts »

En posant ces questions à Élise Lucet sur Rachida Dati, impossible de ne pas repenser à la dernière altercation survenue entre les deux femmes en 2015, lors d’un reportage de Cash Investigation justementÉlise Lucet était venue interroger l’ancienne députée européenne Les Républicains dans les couloirs du Parlement européen au sujet de ses activités d’avocate et des relations professionnelles qu’elle entretenait alors avec des sociétés gazières, notamment Engie.

Rachida Dati avait alors répondu de façon particulièrement véhémente à la journaliste, lâchant au passage : « Je n’ai pas peur de vous, ma pauvre fille. Non, mais quand je vois votre carrière. Votre carrière pathétique ».

Mais pour la journaliste de France Télévisions, « de l’eau a coulé sous les ponts » depuis cette séquence. Il s’agit d’« une demande d’interview qu’elle a, on va dire, mal prise », a simplement répondu Élise Lucet. Elle glisse d’ailleurs ne l’avoir jamais revue depuis cette fameuse altercation.

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France 2 diffuse ce jeudi 4 avril un numéro du magazine d’Élise Lucet dédié aux influenceurs et aux business du copy trading, du multi-level marketing, et des paris en ligne.

TÉLÉVISION – Ces systèmes sont juteux, c’est certain, mais vraiment pas pour tout le monde. Les journalistes de Cash Investigation se sont penchés, dans le nouveau numéro du magazine d’enquête d’Élise Lucet, sur les différents business générés par les vidéos promotionnelles d’influenceurs et autres personnalités sur les réseaux sociaux pour faire de « l’argent facilement ». Spoiler alert pour les téléspectateurs de France 2, ça n’est presque jamais lucratif, au contraire.

Dans le numéro diffusé ce jeudi 4 avril, Cash Investigation a tenté de décrypter les différentes mécaniques mises en place afin d’encourager les abonnés et autres followers « lambda » (c’est-à-dire comme vous et moi) à dépenser de l’argent pour tenter d’investir et le faire fructifier. Souvent un peu, généralement beaucoup, et parfois trop. Pour ce faire, les équipes de Cash Investigation ont découpé en trois angles leur enquête.

Dans un premier temps, les projecteurs sont mis sur les influenceurs et leur promotion du « copy trading ». Par le biais d’une vidéo Instagram ou TikTok mettant en avant leur niveau de vie 100 % bling bling, ils invitent directement leurs abonnés à tenter eux aussi de gagner de l’argent « sans rien faire » en téléchargeant une application de trading et en misant « quelques centaines d’euros ». Garantie absolue selon eux de mettre du beurre dans les épinards, voire de devenir riche.

« Gagner de l’argent en dormant »

Par le biais de témoignages de personnes ayant perdu pour certaines plusieurs milliers d’euros en plaçant de l’argent suite à ces promotions, mais aussi de professionnels de l’autorité des marchés financiers, le reportage illustre la perversité de ce système. Dans lequel 80 % des gens sont perdants, d’après Claire Castanet de l’AMF. Cash Investigation ne manque pas non plus l’opportunité de donner la parole auxdits influenceurs qui s’avouent pour certains « peinés » que des gens aient perdu de l’argent à cause d’eux (comme Julien Guirado ou Jazz Correia).

D’autres en revanche assument cette pratique qui est très lucrative pour eux, comme Marc Blata qui, tout en confirmant s’enrichir généreusement grâce à eux, ne s’estime en rien responsable des pertes de ses followers « Je pensais m’adresser à des gens qui ont la pleine capacité de leur cerveau. Perdre 30 000 euros avec du copy trading, c’est que tu es un idiot », avance l’influenceur actuellement au cœur d’une enquête suite à une plainte pour escroquerie.

L’addiction aux paris en ligne

Le numéro de Cash Investigation explore aussi un autre phénomène qui se répand grâce aux réseaux sociaux : le « multi level marketing » des sociétés qui promeuvent justement des formations en trading. Un système pyramidal, illégal donc, qui permettrait de gagner chaque mois des sommes coquettes (à complètement folles) simplement en « recrutant » d’autres personnes. Sauf que l’argent ruisselle ici vers le haut, et jamais vers le bas et qu’encore une fois d’après Cash Investigation, l’immense majorité des « clients » ou « abonnés » ne gagne pas d’argent, mais en perd.

Enfin, le magazine met aussi en lumière le système des sites et applications de paris sportifs en ligne et leur puissance grandissante depuis l’ouverture de la concurrence en 2010, après la promulgation d’une loi poussée par Nicolas Sarkozy. Une mécanique qui joue sur les addictions et peut avoir des conséquences désastreuses voire dramatiques sur la santé mentale. Les sociétés de paris en ligne appellent d’ailleurs les plus gros perdants les « clients VIP ». Un de ces clients qui a dépensé plus de 600 000 euros en dix ans raconte les coups de téléphone de relance des sociétés, les cadeaux pour son anniversaire alors que l’entreprise devrait légalement limiter les joueurs excessifs. Il résume : « Tout ça c’était du pipeau, du vent ».

Ce que ces trois volets mettent tous en avant, c’est tout d’abord la puissance de l’influence : celle d’un professionnel des réseaux sociaux, celle d’une connaissance, ou celle d’un opérateur de paris en ligne. Mais également, qu’en misant, pariant, plaçant de l’argent par ces différents biais, vous n’êtes presque jamais gagnant.

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Contrairement au talk-show animé par Yann Barthès sur TMC, qui a supprimé son compte en 2023, la journaliste estime qu’il ne faut pas «déserter» la plateforme détenue par le milliardaire Elon Musk.

«On se pose tous des questions par rapport à ça». Élise Lucet s’interroge ce jeudi 16 janvier sur le plateau de «Quotidien» sur le phénomène Elon Musk. Sans exercer aucune fonction officielle, l’homme d’affaires s’est invité dans la géopolitique.

Allié de Donald Trump, Elon Musk s’illustre depuis quelques jours par des attaques contre les gouvernements de pays européens. L’influence de l’homme d’affaires propriétaire de Tesla et de la plateforme X (l’ancien Twitter) interpelle jusqu’à la Commission européenne qui enquête depuis plus d’un an sur X, notamment pour des problèmes de manque de transparence sur les publicités et de tromperie sur les comptes certifiés. Des investigations sont aussi menées sur d’éventuelles manipulations de l’algorithme dont le but serait de promouvoir certains contenus idéologiques au détriment de leurs oppositions.

– Quand on a l’envie d’informer, on a l’envie d’informer sur le plus de canaux possibles.

Élise Lucet dans «Quotidien»

En réaction, des politiques, des personnalités et même des médias annoncent leur volonté de quitter le réseau social X, quand ils n’ont pas déjà supprimé leurs comptes. «Je pense qu’il faut continuer», tranche assez vite Élise Lucet qui estime que «quand on a l’envie d’informer, on a l’envie d’informer sur le plus de canaux possibles». «Je ne fais pas de politique, je suis journaliste», rappelle-t-elle.

Un avis qui n’est pas partagé sur le plateau de «Quotidien». En effet, en décembre 2023, le talk-show de Yann Barthès s’est retiré de la plateforme en réaction au rachat de Twitter par Elon Musk. Le milliardaire a déboursé 44 milliards de dollars dans cette transaction. «Certainement une goutte d’eau, mais c’est symbolique pour nous. Insultez-vous entre vous, mais sans nous», avait déclamé l’animateur.

Élise Lucet n’engage pourtant pas ses mots sur le long terme : «Peut-être qu’on prendra la décision dans quelques semaines ou quelques mois. Pour le compte de France Télévisions, ce n’est pas ma responsabilité, mais je me pose la question avec mes équipes pour “Cash Investigation” et “Envoyé Spécial”».

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Si vous êtes en proie à des maux de tête constants, à la fatigue ou à l’apathie, faites simplement de l’eau de banane. C’est un excellent calmant et somnifère. Cela est dû au fait que le potassium et le magnésium qu’elle contient contribuent à la relaxation des muscles. Préparez cette boisson avant d’aller vous coucher pour vous sentir éveillé et reposé.

Vous avez besoin de :

1 banane.

200 ml d’eau

une pincée de cannelle

Faites chauffer une casserole d’eau sur le feu. Lavez bien la banane et coupez les pointes des deux côtés. Plongez les bananes plantains préparées dans l’eau bouillante.

Faire cuire les fruits pendant 7 à 10 minutes.

Versez l’eau de banane dans un verre, ajoutez la cannelle et remuez. Buvez cette boisson froide.

Couper la banane cuite dans sa peau, la saupoudrer de cacao, de cannelle et de sucre en poudre et la manger. Une banane sous cette forme est non seulement très savoureuse, mais elle améliore également le tractus gastro-intestinal.

Si on la boit le matin à jeun, on peut perdre jusqu’à trois kilos en un mois, ce qui est un très bon résultat.

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Kier Starmer a apporté son soutien total à Talip Siddiq, le chancelier du Trésor britannique, après que la commission anti-corruption du Bangladesh l’a accusée, ainsi que sa famille, d’avoir détourné des milliards de livres sterling dans le cadre d’un accord sur une centrale nucléaire. Siddique, qui occupe le poste de secrétaire économique au Trésor et est chargée de lutter contre la corruption financière, nie toutes les accusations portées contre elle.

Malgré le soutien du Premier ministre, la situation pose des défis supplémentaires à Starmer compte tenu des récents changements dans le personnel du ministère. Les conservateurs britanniques n’ont pas manqué l’occasion de souligner qu’il s’agit là d’une nouvelle tache sur la réputation de Starmer. Il convient de noter que Siddique est la nièce de Sheikh Hasina, l’ancien Premier ministre du Bangladesh qui a été chassé du pouvoir lors de la révolution d’août.

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La Grèce est confrontée à une crise de réfugiés, en particulier parmi les enfants et les adolescents. En 2024, le nombre de mineurs arrivant dans le pays a considérablement augmenté, suscitant des inquiétudes quant à une pénurie de lieux sûrs pour les accueillir. Les principales raisons de l’augmentation des arrivées sont les nouvelles routes de contrebande commençant en Libye et se terminant en Crète. Les ONG exhortent le gouvernement à prendre des mesures pour permettre aux enfants d’être placés dans des foyers sûrs ou transférés vers d’autres pays de l’UE.

Сofia Kouvelaki, qui dirige Home Project, une organisation qui aide les enfants réfugiés, affirme qu’ils sont témoins d’une crise infantile jamais vue ces dernières années. Plus de 13 000 mineurs sont arrivés dans le pays par la mer au cours des 11 premiers mois de 2024. Le nombre de mineurs non accompagnés est passé de 1 490 en 2023 à environ 3 000 cette année. Elle a confirmé que parmi les nouveaux arrivants se trouvaient notamment de jeunes enfants en provenance de Syrie et d’Égypte.

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Le Vanuatu a été frappé par un nouveau tremblement de terre de magnitude 6,1, quelques heures seulement après que des centaines d’Australiens ont été déplacés par des secousses précédentes, et le gouvernement du pays a annoncé une nouvelle série d’aides financières. Le séisme a été ressenti sur l’île principale du pays vers 2h30 du matin, heure locale, et s’est produit à seulement 30 kilomètres à l’ouest de la capitale Port Vila.

Contrairement à l’événement de magnitude 7,3 survenu à la fin de la semaine dernière, aucune alerte au tsunami n’a été émise cette fois-ci. Cependant, après le premier tremblement de terre, le gouvernement australien a été contraint d’augmenter son aide financière, en allouant 5 millions de dollars supplémentaires aux besoins humanitaires. Les avions de la RAAF ont ramené 144 personnes de Vanuatu dimanche, et 568 touristes et travailleurs sont désormais rentrés chez eux.

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